À propos

Après avoir obtenu un Master en neuropsychologie à l’Université de Paris 8, j’ai poursuivi ma formation au Canada, où j’ai réalisé un Doctorat à l’Université de Montréal.

J’ai décidé de traverser l’Atlantique car la formation et la pratique de la neuropsychologie au Canada sont souvent considérées comme supérieures à celles de la France. Les programmes universitaires y sont plus spécialisés, l’accès au titre de neuropsychologue est strictement réglementé et la pratique est mieux structurée et supervisée. Les avancées en recherche et innovation y sont reconnues internationalement. De plus, au Canada, les neuropsychologues posent les diagnostics de troubles du neurodéveloppement, ce qui souligne encore davantage l’importance et la reconnaissance de cette spécialité dans le domaine de la santé mentale. Ces éléments contribuent à une formation plus rigoureuse et à une pratique de haute qualité pour les neuropsychologues canadiens.

Durant ces années passées au Canada, j’ai notamment approfondi mon expertise sur les traumatismes crâniens en réalisant ma thèse sur le thème des commotions cérébrales d’origine sportive. C’est aussi là-bas que j’ai été amenée à découvrir le travail auprès des enfants et des adolescents, que je n’ai jamais cessé depuis.

Fortement influencée par cette double formation, je suis retournée en France en 2020. J’ai d’abord œuvré au sein de l’association Aloïs à Paris, avec une double casquette : neuropsychologue pour enfants/adolescents et cheffe d’un projet de recherche dans le domaine de l’insertion professionnelle. J’ai ensuite quitté Paris pour m’installer dans le sud, où j’ai intégré le Centre d’Excellence sur l’Autisme et les Troubles du Neurodéveloppement du CHU de Montpellier.

Et c’est en 2025 que je fonde Neurosmose, un cabinet de neuropsychologie alliant excellence canadienne et expertise française.